skip to Main Content
Our Family Lawyers Team

Notre histoire

Le cabinet d’avocats Kalman Samuels a été fondé à Montréal en 1957 par Me Kalman Samuels. Son épouse et partenaire d’affaires, Me Stella Samuels l’a rejoint peu de temps après la création du cabinet pour un partenariat qui a duré près d’un demi-siècle. Ensemble, ils sont devenus des piliers de la communauté juridique dans la province du Québec et ont acquis une renommée en droit international privé à travers tout le Canada et l’Amérique du Nord. Pendant plusieurs années, près d’une centaine d’avocats sont venus se former au sein de ce cabinet, sous la supervision de Me Kalman Samuels et Me Stella Samuels.

Stella Samuels and Kalman Samuels - Montreal Attorneys

Plusieurs sommités sont issues des rangs du cabinet Kalman Samuels, notamment l’honorable Joseph R. Nuss,(juge à la Cour d’appel du Québec), l’honorable Paul Mayer (juge à la Cour supérieure du Québec), l’honorable. Kathleen Weil (membre de l’Assemblée nationale et ministre de la Justice). En fait, on peut dire que beaucoup d’avocats reconnus pratiquants en droit de la famille dans la province de Québec ont été formés au cabinet d’avocats Kalman Samuels à un moment ou un autre de leur carrière.

Harry-Batshaw-Uncle of Kalman Samuels, Q.C.

Me Kalman Samuels a lui-même eu pour mentor l’honorable Harry Batshaw qui a été le premier juge d’obédience juive nommé à la Cour supérieure du Québec. « Oncle Harry », comme on l’appelait affectueusement au sein de notre cabinet, a été nommé conseiller du roi, chef du comité des relations publiques de l’organisation sioniste du Canada et coprésident pour le Conseil canadien des chrétiens et des juifs du Québec. Son frère, Manuel G. Bathshaw¸quiétait un des oncles de Me Kalman Samuels, a été le fondateur des centres de la jeunesse et de la famille Batshaw à travers le Québec.

Me Kalman Samuels a lui-même eu pour mentor l’honorable Harry Batshaw qui a été le premier juge d’obédience juive nommé à la Cour supérieure du Québec. « Oncle Harry », comme on l’appelait affectueusement au sein de notre cabinet, a été nommé conseiller du roi, chef du comité des relations publiques de l’organisation sioniste du Canada et coprésident pour le Conseil canadien des chrétiens et des juifs du Québec. Son frère, Manuel G. Bathshaw¸quiétait un des oncles de Me Kalman Samuels, a été le fondateur des centres de la jeunesse et de la famille Batshaw à travers le Québec.

Il n’est pas surprenant que Me Kalman Samuels soit devenu un avocat reconnu internationalementavec commemodèle ces personnalitésjuridiques exemplaires. Il a été nommé conseiller de la Reine (Q.C.) en 1973 et a occupé d’innombrables postes importants tant au niveau local qu’international, notamment les fonctions de consul honoraire pour la Yougoslavie à Montréal, de consul honoraire pour la Serbie à Montréal, de gouverneur pour l’association américaine de la justice (AAJ), de membre et de gouverneur de l’académie internationale des avocats en droit matrimonial (en 2002 et 2004), de membre agréé de l’académie américaine des avocats en droit matrimonial, de membre du conseil d’administration de la Fondation du Barreau, de gouverneur au sein de la Fondation du Barreau, de membre du conseil d’administration de la fondation de l’hôpital général juif, de membre du conseil d’administration du club universitaire de Montréal, de membre du conseil d’administration de l’association des athlètes amateurs de Montréal, de directeur de la télévision publique du Vermont.

La citation populaire voulant que « derrière chaque grand homme se cache une femme » s’applique également à l’histoire de ce cabinet. Alors que Me Kalman Samuels plaidait à la cour et assurait la présidence d’assemblées dans divers conseils d’administration, son épouse et avocate, Me Stella Samuels, s’occupait du cabinet, prenait soin des clients, organisait les rencontres et les dates à la cour, gérait les dossiers du cabinet, formait le personnel et les nouveaux avocats. Elle accomplissait toutes ses tâches en s’occupant de ses propres clients et en devenant une experte dans le droit des successions. Me Stella Samuels fut l’une des premières femmes à être admise à la faculté de droit de l’université de Colombie-Britannique, où elle a joué le rôle de précurseur pour les autres femmes qui voulaient se lancer dans une carrière juridique. Encore aujourd’hui, certains avocats de renom d’autres cabinets juridiques font encore allusion à Me Stella Samuels et demandent de ces nouvelles. Elle a formé un bon nombre des avocats reconnus à ce jour dans la communauté juridique montréalaise.

En tant que chef de file dans le domaine du droit, le cabinet d’avocats Kalman Samuels attire une vaste clientèle internationale et a souvent été un cabinet référence pour les dossiersimportants. En tant que telles, nous avons représenté certaines familles des victimes de l’attentat à la bombe du vol 182 d’Air India. Nous avons également représenté des travailleurs mohawks qui avaient subi des dommages sur leur santé à la suite de travaux de nettoyage des décombres des tours jumelles lors des attentats du 11 septembre 2001. De plus, notre cabinet d’avocats a été déterminant dans l’obtention du plus grand règlement de l’histoire de l’état de la Floride pour une personne ayant été victime d’un accident automobile. En tant que membre et président de plusieurs associations en droit international, il était naturel que Me Kalman Samuels se voie référer par des avocats étrangers, des dossiers importants à caractère international. C’est notamment grâce à cela que notre cabinet a pu acquérir son expertise et sa notoriété pour les dossiers de droit international privé, et a mérité son surnom de cabinet québécois de droit international en droit de la famille.

Au même titre que la médecine,le droit est devenu un domaine de plus en plus spécialisé au fil des années. Alors qu’il y a plusieurs années, les avocats et les médecins généralistes pouvaient s’occuper de leurs dossiers sans grandes préoccupations, aujourd’hui la situation a changé avec le progrès. Dans les années 1960 et 1970, nos avocats pratiquaient dans tous les domaines de droit que nécessitaient les demandes de leurs clients. Au fur et à mesure que la loi s’est développée et est devenue complexe, il est devenu plus que crucial de concentrer ses énergies et ses compétences dans les domaines de droit qui ont fait notre réputation.

Me Kalman Samuels est malheureusement décédé le 31 décembre 2011, laissant derrière luison épouse, Mme Stella Samuels, quatre enfants, neuf petits-enfants et la renommée d’avoir été l’un des meilleurs juristes du Québec. Il a également laissé derrière lui un cabinet juridique de premier ordre avec beaucoup de clients dont les dossiers ont été importants et qui ont été repris par Me Stella Samuels et Me Daniel Romano qui est devenu un partenaire pour gérer le cabinet et pour continuer de donner vie à l’héritage de Me Kalman Samuels. Me Romano, qui a effectué son stage sous la supervision de Me Kalman Samuels et de Me Stella Samuels plusieurs années avant, s’est montré entièrement dévoué à la clientèle du cabinet, mais également au cabinet. Au fil des années, grâce à la sélection minutieuse d’une équipe d’avocats et d’un personnel soudé et compétent, le cabinet a réussi à maintenir le même niveau de qualité dans la représentation des clients, à obtenir des victoires remarquables et à continuer d’être un des cabinets juridiques les plus en vogue au Québec.

Le cabinet d’avocats « Kalman Samuels Q.C. et associés » a été incorporé en 2013 et a opté pour le nom de « Kalman Samuels, Avocats » en 2018. Le cabinet a également connu une restructuration majeure dans la gestion de ses dossiers et de sa comptabilité, devenant ainsi l’un des cabinets juridiques de taille modeste les plus avancés au niveau de la technologie. En effet, nous disposons d’une base donnée entièrement numérique et d’une comptabilité unique à trois paliers de vérification. Cependant, le fonctionnement des tribunaux et d’autres cabinets juridiques nous obligent à continuer d’utiliser des documents papier, lesquels sont imprimés en fonction des besoins. Depuis 2015, nous avons formé plusieurs jeunes avocats à notre système de gestion de dossiers et allons continuer de le faire dans l’espoir d’améliorer la qualité des services rendus par les petits cabinets juridiques partout dans la province.

Alors que nous sommes à l’aube des années 2020, l’équipe de Kalman Samuels continue de viser l’excellence pour les services qui sont rendus à ses clients, mais aussi pour l’avancement de la justice au Québec, au Canada et au niveau international, et ce, pour encore plusieurs décennies.

Personnalités 

Plusieurs anciens stagiaires du cabinet d’avocats de KalmanSamuels sont devenus des figures marquantes au sein la communauté juridique. Voici quatre exemples :

K-Weil-OPTIMIZED

Honorable Kathleen Weil

Membre de l’Assemblée nationale 2008-2020
Ministre de la justice (2008-2010), inter alia

L’honorable Kathleen Weil a étudié à l’Université McGill et a obtenu un baccalauréat en histoire et sciences politiques en 1978 ainsi qu’un diplôme en droit civil et en commonlaw en 1982 avant de faire son stage au sein du cabinet KalmanSamuels, Q.C. & Associés. Elle a été admise au Barreau du Québec en 1983. Elle a été fonctionnaire d’Alliance Québec, impliquée dans les contestations du projet de loi 101 devant les tribunaux en plus d’avoir pris partau lobbying contre l’Accord du lac Meech.

L’honorable Kathleen Weil a été nommée ministre de la Justice du Québec, poste qu’elle a occupé de 2008 à 2010. En 2010, elle a été nommée ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles. À la suite des élections provinciales de 2014, elle a été nommée ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusivité.

Elle a été réélue aux élections générales du 1er octobre 2018 comme députée de Notre-Dame-de-Grâce. Elle a occupé plusieurs postes, dont notamment celui de vice-présidente de la délégation de l’Assemblée nationale pour les relations avec Terre-Neuve-et-Labrador depuis le 22 octobre 2019 et celui de porte-parole de l’opposition officielle pour la francophonie canadienne depuis le 15 juillet 2019.

J-Nuss-OPTIMIZED

Honorable Joseph R. Nuss

Juge, Cour d’appel du Québec (1995-2009)

L’honorable Joseph R. Nuss est né à Montréal en 1934. Il a étudié à l’Université McGill, où il a obtenu un baccalauréat en arts avec spécialisation en littérature, science politique et philosophie en 1955. Il a ensuite obtenu son baccalauréat en droit civil en 1958. Il a été l’un des premiers étudiants à faire son stage au sein du cabinet d’avocats de KalmanSamuels, Q.C. et associés. Tout au long de son séjour à l’Université McGill, il a été actif au sein du comité des débats, dont il a été le vice-président alors que Leonard Cohen en était le président.

Il a reçu un Certificat d’Études Supérieures Européennes en 1960 à l’Institut universitaire d’études européennes de Turin en Italie. En tant qu’avocat, il s’est spécialisé en litige et a plaidé devant la Cour suprême du Canada, la Cour fédérale, tous les tribunaux du Québec ainsi que devant les tribunaux administratifs fédéraux et provinciaux. Il a également été avocat devant un certain nombre de commissions d’enquête fédérales. L’honorable Joseph R. Nuss a été juge de la Cour d’appel du Québec de 1995 à 2009 et a entendu des affaires portant sur des questions commerciales et financières d’importance significative.

P-Mayer-OPTIMIZED

Honorable Paul Mayer

Cour Supérieure du Québec

L’honorable Paul Mayer a obtenu un baccalauréat en arts (avec distinction) à l’Université Trent en 1979, un baccalauréat en droit à l’Université McGill en 1983 et un doctorat en droit et sciences politiques à l’Université Aix-Marseille en 1985. Il a été admis au Barreau du Québec en 1986 après avoir effectué son stage au cabinet Kalman Samuels, QC et associés. Il a enseigné un cours sur les baux commerciaux aux facultés de droit de l’Université de Montréal (1993) et de l’Université McGill (1995-1999).

Il a été reconnu comme un praticien de premier plan en droit des baux commerciaux avec la mention « recommandé à plusieurs reprises » par le répertoire juridique canadien, l’Expert. Il a été secrétaire de l’Autorité en matière de courtage immobilier du Québec (OACIQ) de 1991 à 1994. Il a également été président du conseil d’administration du Fonds d’indemnisation du courtage immobilier (FICI) de 2005 à 2008. En novembre 2006, il a été nommé ministre principal représentant du Ministre fédéral des Affaires indiennes et du Nord canadien au sujet de la dévolution du Nunavut, poste qu’il a occupé jusqu’à sa nomination à la magistrature.

Il a été nommé juge à la Cour supérieure le 18 juin 2008. Il est également membre à temps partiel du Tribunal des revendications particulières depuis mai 2016 et a vu son mandat être reconduit pour une période de cinq ans à compter de mai 2018.

Rim-Gtari-thumb

Me Rim Gtari, Ph.D

Commissaire à la protection des réfugiés à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada

Me Rim Gtari a un doctorat en droit civil de l’Université d’Ottawa (2006) et une maîtrise en science politique de l’UQÀM (1998). Elle a été admise au Barreau du Québec en 2020. Elle est récipiendaire de la médaille du Barreau de Paris (2006), prix décerné à la meilleure thèse de doctorat des programmes des Études supérieures en droit à l’Université d’Ottawa.

Me Rim Gtari a travaillé comme professeure en droit à l’Université d’Ottawa et chargée de cours auprès de l’Université de McGill, de l’UQÀM et de L’UDEM (2007-2023). Elle a enseigné le droit des personnes et de la famille, le droit comparé, le droit de l’immigration et le droit des réfugiés.

Son riche parcours académique et professionnel en droit québécois, droit comparé et en science politique lui a permis de faire de riches contributions en publiant plusieurs articles en droit et par la publication de son livre chez Presses Universitaires d’Aix-Marseille en 2015 sur l’égalité des femmes en Tunisie.

Me Rim Gtari est souvent appelée à intervenir dans des conférences et dans les médias, sur les questions touchant le droit des femmes en droit musulman.

Me Rim Gtari a rejoint le cabinet Kalman Samuels, QC et associés de 2021 à 2023, jusqu’à sa nomination comme commissaire à la protection de réfugiés au sein de la commission de l’immigration et du statut de réfugié, le plus important tribunal administratif indépendant au Canada. Sa pratique était orientée principalement vers le droit de la famille, le droit de la famille internationale, le droit administratif, le droit de l’immigration et le droit des réfugiés.

Back To Top